Venez avec nous afin de découvrir certaines des merveilles du Japon, les temples.
Le Japon est l’une des destinations touristiques les plus populaires au monde, notamment pour son patrimoine traditionnel réputé.
Il possède en effet une histoire très riche et charger de mythes et contes. Aujourd’hui nous allons voir ensembles l’un des bâtiments les plus populaire du pays, le temple japonais. Impossible d’établir une liste complète des temples les plus beaux tellement il y en a (on répertorie environs 700’000 temples au Japon) mais voici quand même une liste de qualité !
Le Hoyu-ji à Nara
Le Hōryū-ji (法隆寺) est un temple bouddhique situé à Ikaruga, bourg de la préfecture de Nara, au Japon.
Les bâtiments les plus anciens (le kondō, la pagode à cinq étages et la porte centrale) datent de la période d’Asuka (milieu du vie siècle-710) et sont considérés comme les plus anciennes constructions en bois du monde.
L’ensemble de bâtiments de Hōryū-ji et de Hokki-ji à Ikaruga a été inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en 1993 avec le paysage environnant en vertu de plusieurs critères. Les bâtiments inscrits sont quelques-uns des plus anciens bâtiments en bois encore existants au monde et datent des viie et viiie siècles. Nombre de ces monuments sont aussi trésors nationaux du Japon et reflètent une période importante de l’influence bouddhiste au Japon. L’ensemble comprend vingt-et-un bâtiments dans le temple est de Hōryū-ji, neuf dans le temple ouest, dix-sept monastères et autres bâtiments et la pagode de Hokki-ji.
Le Ginkaku-ji à Kyoto
Le Ginkaku-ji (銀閣寺, le « temple du Pavillon d’argent ») est un temple bouddhiste situé dans l’arrondissement Sakyō-ku à Kyōto au Japon, et datant de la fin du xve siècle.
Des différents bâtiments de l’époque, seules ont survécu deux structures, la principale étant le Pavillon d’argent. En plus du pavillon, le temple possède un terrain boisé couvert de mousses et un jardin japonais qu’on attribue à Soami. Le jardin de pierres et de sable de Ginkaku-ji est particulièrement célèbre et un tas de sable, qu’on dit laissé par les ouvriers quand les travaux ont été interrompus, en fait maintenant partie. Il symboliserait le mont Fuji. Le jardin sec du Ryōan-ji a été créé au cours de la première moitié du xvie siècle.
Le Nikko Tosho-gu à Nikko
Le Nikkō Tōshō-gū (日光東照宮, Nikkōtōshōgū?) est un sanctuaire shinto de type tōshōgū situé dans la préfecture de Tochigi au Japon. Il se situe près de la ville de Nikkō, dans le parc national de Nikkō. Il fait aussi partie des sanctuaires et temples de Nikkō. On y trouve les singes de la sagesse.
Le sanctuaire est composé de nombreux bâtiments dont trente-neuf sont inscrits comme « biens culturels importants » par le gouvernement et d’autres comme « trésors nationaux ».
L’ishidorī (石鳥居) est le premier torii marquant l’entrée du sanctuaire. Il fut construit en 1618. Le gojūnotō (五重塔) est une pagode se situant à gauche de l’entrée du parc, construite en 1648. Elle fut partiellement détruite par un incendie, puis complètement restaurée.
Le Toda-ji à Nara
Le Tōdai-ji (東大寺, littéralement « grand temple de l’Est »), de son nom complet Kegon-shū daihonzan Tōdai-ji (華厳宗大本山東大寺), est un temple bouddhique situé à Nara au Japon. Il est le centre des écoles Kegon et Ritsu, mais toutes les branches du bouddhisme japonais y sont étudiées et le site comprend de nombreux temples et sanctuaires annexes. Dans l’enceinte se trouve la plus grande construction en bois au monde1, le Daibutsu-den (大仏殿, salle du Grand Bouddha), qui abrite une statue colossale en bronze du bouddha Vairocana appelée Daibutsu (大仏), c’est-à-dire « Grand Bouddha ». Le bâtiment, d’une largeur de huit travées de piliers (soit 57 mètres), est un tiers plus petit que le temple originel qui en comprenait douze.
De nombreux bâtiments secondaires ont été groupés tout autour de la salle du Grand Bouddha sur le flanc de coteau légèrement incliné du mont Wakakusa. Parmi eux, le Kaidan-in (戒壇院, salle d’ordination), le Shōsō-in (正倉院), ancien grenier qui fut transformé en entrepôt d’objets d’art et le Hokke-dō (法華堂), réputé pour sa collection de sculptures du viiie siècle. Le rôle du temple est étroitement lié à la fonction impériale, les rites et cérémonies qui s’y déroulent devant protéger le pays et la famille de l’empereur.
Le Senso-ji à Tokyo
Le Sensō-ji (金龍山浅草寺, Kinryū-zan Sensō-ji) est un temple bouddhiste situé à Tokyo, dans le quartier d’Asakusa (arrondissement de Taitō). C’est le plus vieux temple de la capitale japonaise ; il est dédié à la déesse bodhisattva Kannon.
La Kaminarimon (雷門, littéralement « porte du tonnerre ») est la principale voie d’accès au temple. Elle est suivie d’une grande allée commerçante appelée Nakamise-dōri (仲見世通り), qui se termine par le hōzōmon (宝蔵門, littéralement « Porte de la salle aux trésors »). Derrière cette porte se trouve à gauche la pagode à cinq étages, et devant le bâtiment principal (本堂, hondō). Les autres bâtiments se trouvent à gauche du hondō, derrière la pagode : yōgōdō (影向堂), yakushidō (薬師堂), awashimadō (淡島堂) et zenizukajizōdō (銭塚地蔵堂), à l’exception des denbōin (伝法院) et chingodō (鎮護堂) situés devant la pagode.
Le Kiyomizu-dera à Kyoto
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l’Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺) à l’est de Kyoto, qui est l’un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l’UNESCO en 1994.
Le Meji-jingu à Tokyo
Le Meiji-jingū (明治神宮?) ou sanctuaire Meiji, est un sanctuaire shintoïste situé en plein cœur de Tokyo, dans l’arrondissement de Shibuya, en bordure du quartier Harajuku.
Le Meiji-jingū est en fait constitué de deux complexes : le principal, parfois appelé naien (内苑), littéralement « jardin intérieur », où se trouve le sanctuaire, et le gaien (外苑), littéralement « jardin extérieur », situé à plus d’un kilomètre à l’est.
Le sanctuaire est au centre du Meiji-jingū gyoen (明治神宮御苑), le jardin impérial, qui s’étend sur 700 000 m2 et comptait en 2008 près de 170 000 arbres de 245 espèces différentes. On y trouve en outre un champ de 1 500 iris de plus de 150 espèces différentes. Le chemin principal menant au sanctuaire est ouvert par un torii en bois de cèdre de 12 m de hauteur, ce qui en fait le plus haut du Japon. Outre le kaguraden, les bâtiments du sanctuaire sont le honden, bâtiment principal construit dans les règles du style nagare-zukuri, le noritoden (祝詞殿) où la liturgie est récitée, le naihaiden (内拝殿), le gehaiden (外拝殿), le shinko (神庫) pour les objets sacrés et le shinsenjo (神饌所) pour les offrandes. Le dojo shiseikan se trouve au nord du site à côté du musée, appelé hōmotsuden (宝物殿?, lit. « sanctuaire aux trésors »), et exposant les portraits des empereurs ainsi que des objets leur ayant appartenu9. Au sud du jardin du sanctuaire se trouve le parc Yoyogi, qui s’étend sur 540 000 m.
Le Kinkaku-ji à Kyoto
Le temple du Pavillon d’or, ou Kinkaku-ji, est situé dans le sud de l’arrondissement Kita de la ville de Kyoto (préfecture de Kyoto), sur l’île de Honshū, à environ 370 km, à vol d’oiseau, au sud-ouest de Tokyo, capitale du Japon. Au pied de la face nord-est du mont Kinugasal (201 m5,6), une colline recouverte d’une forêt nationale de pins, il s’étend sur 93 000 m2 (9,3 ha)8,2. La route qui débute le long du mur d’enceinte Est du temple, communément appelée la route Kinukakel, s’étire vers le sud-ouest, au pied du mont Kinugasa, et relie le Kinkaku-ji au Ryōan-ji et au Ninna-ji.
Source :Wikipedia