Le récit choral Sakura no Sono d’Akimi Yoshida débarque chez Panini.
Alors que les éditions Panini ont dévoilé leur cinquième et dernière annonce de la semaine, revenons sur le deuxième titre d’Akimi Yoshida qui sortira dans l’année chez l’éditeur : Sakura no Sono. La série se présente comme un récit choral dans un lycée pour jeune fille qui vont devoir jouer une pièce de Chekhov, La Cerisaie, un rituel de passage pour les élèves de dernière année. L’occasion d’accompagner une galerie d’adolescentes dans leurs doutes, leurs sentiments, etc.
Le manga rejoindra la collection grand format de Panini, aux côtés de Banana Fish et Yasha de la même autrice. Soit un format 15 par 21 cm pour un total d’un unique tome. La sortie du manga serait prévue cet automne. Côté tarification, on imagine que le prix du tome sera de 17 euros, comme les autres titres de la collection.
Sakura no Sono (櫻の園) a été prépublié entre les mois de mai 1985 et juin 1986 dans les pages du magazine LaLa (mensuel Shojo) des éditions Hakusensha. Les cinq chapitres qui composent la série ont été compilés en un unique tome. Jusqu’il y a peu on ne connaissait Akimi Yoshida que pour Banana Fish (Panini) et Kamakura Diary (Kana) dont on connait plus la très bonne adaptation en film par Hirokazu Kore-Eda sous le nom de Notre petite sœur. On la connait aussi pour son manga Yasha aussi paru chez Panini.
La série a eu droit à deux adaptations en film live. Une première sortie en 1990 et réalisée par Shun Nakahara qui jouit bonne d’une réputation. Ainsi qu’une seconde par le même réalisateur et sortie en 2008 qui possède une moins bonne réputation.
Source : Panini manga
Dans un lycée pour jeunes filles situé en haut d’une colline recouverte de cerisiers, d’étranges traditions se perpétuent, comme la représentation chaque année par le club théâtre de la pièce La Cerisaie de Tchekhov. Nous suivons ainsi dans leurs incertitudes 4 lycéennes membres du club théâtre, au fil de la préparation de la pièce :
Atsuko, qui ne se sent pas prête pour passer à l’acte avec son petit ami, alors qu’elle l’aime.
Noriko, qui jouit d’une mauvaise réputation de délinquante et de débauchée. Pourtant, elle n’a même jamais embrassé son petit ami, de peur de devoir ensuite aller plus loin.
Chiyoko, qui par son apparence joue facilement des rôles masculins, mais qui doute de pouvoir jouer le rôle féminin qui lui a été attribué cette année.
Yûko, la présidente du club, qui n’aime pas l’image d’élève sérieuse et responsable lui collant à la peau, et qui aimerait réussir à nouer des liens avec ses camarades.