Un manga qui dévoile une nouvelle facette de l’Œuvre de Moto Hagio à venir chez Akata.
Les actualités autour de Moto Hagio se multiplient, après l’annonce hier de sa présence et d’une exposition dédiée, les éditions Akata annoncent l’arrivée d’un nouveau manga de l’auteure dans leur catalogue : Leo. Le manga se présente comme une comédie sur le quotidien entre une femme et son chat. Un manga mignon sur les chats qui permet à l’éditeur, Akata, de mettre en avant des travaux moins connus de l’auteure afin de permettre au lectorat de découvrir les différentes facettes de son travail.
Le manga rejoindra la collection Small de l’éditeur. La traduction est assurée par Alexandre Goy, la mise en page par Audrey Martor et la couverture et son logo sont signés Tom « spAde » Bertrand. La sortie du one shot est prévue le 25 janvier 2024, soit pile au moment de la venue de l’auteure en France pour le Festival d’Angoulême.
Leo, ou Leo-kun (レオくん) au Japon, a été prépublié de 2008 à 2012 dans le magazine Flowers (mensuel Josei) des éditions Shogakukan. La série ne compte qu’un unique tome. Il est aussi sorti dans une édition anglaise sous le nom de Lil’Leo aux éditions Denpa Books. Par ailleurs, Moto Hagio avait auto-publié une version bilingue franco-japonaise du manga en 2012 lors de sa venue à la Japan Expo. Cette édition comptait trois tomes.
On connait encore relativement mal l’auteure Moto Hagio en France malgré le statut culte de plusieurs de ses mangas et son importance dans l’histoire du manga. En France seuls trois mangas ont été publiés : Le cœur de Thomas aux éditions Kazé (plus du tout disponible), les deux anthologies De la rêverie et De l’humain publiées par Glénat (qui devraient ressortir l’an prochain, probablement pour le Festival d’Angoulême) ainsi que Le Clan des Poe qui parait la collection Héritage d’Akata. L’éditeur a aussi prévu de sortir Barabara, l’entre-deux-monde dans la même collection.
Source : Akata
Leo est un adorable chat qui ne demande pas grand-chose : manger, jouer, se reposer. Mais trop souvent, les humains qui l’entourent ne semblent pas comprendre ses besoins ! Quand il va à l’école, au travail ou qu’il demande tout simplement à sortir, il se fait trop souvent gronder. La vie est vraiment trop injuste…