Akiko Igashimura fait son retour chez Akata en 2025 avec La couche est pleine
En fin de semaine dernière, vendredi 6, les éditions Akata ont annoncé l’arrivée dans leur catalogue d’un nouveau manga : La couche est pleine écrit et dessiné par Akiko Higashimura. La série se présente comme un manga autobiographique sur le quotidien difficile de mère et mangaka de l’autrice. Auto-dérision et humour seront au rendez-vous dans ce manga que l’éditeur qualifie de « témoignage hilarant qui, au passage, ne manquera pas de déculpabiliser toutes les mamans ».
Le manga rejoindra la collection Large de l’éditeur. La traduction sera assurée par Miyako Slocombe, la mise en page par Cindy Bertet (Gatobé) et Tom « spAde » Bertrand qui est aussi responsable du travail sur les couvertures. La sortie du premier tome est prévue l’an prochain, fin janvier 2025 (pour Angoulême ?), au prix de 7.75 euros.
La couche est pleine, ou Mama wa Temparist (ママはテンパリスト) au Japon, a été prépublié entre le mois de juin 2007 et de mai 2011 dans les pages du magazine Chorus (mensuel Josei) des éditions Shueisha. La quasi-cinquantaine de chapitres qui composent la série ont été compilés en un total de 4 tomes.
Akiko Higashimura est une auteure qu’on connait plutôt bien chez nous puisque six de ses mangas ont été publiés chez nous. En premier celui qui reste son plus célèbre : Princess Jellyfish chez Delcourt, puis depuis d’autres titres tels que les très chouettes Le Tigre des Neiges et Tokyo Tarareba Girls (+ ses suites Returns et Saison 2) chez le Lézard Noir, mais aussi A Fake Affair chez le même éditeur, Gourmet Détective chez Delcourt/Tonkam et enfin l’excellent (indispensable) Trait pour trait chez Akata.
Source : Akata
Akiko est mangaka et depuis peu, elle est aussi… maman ! Comme beaucoup d’autrices, elle travaille de chez elle (pour le meilleur et pour le pire). Mais avec son adorable Gotchan qui ne cesse de demander le sein, le quotidien n’est pas toujours facile. Entre le rendu de ses planches, la gestion du quotidien et les jugements des autres, la pauvre Akiko est souvent à deux doigts de péter un câble… pour notre plus grand plaisir !