Le manga sur le suicide et le harcèlement Karma of Purgatory rejoint le catalogue de Noeve Grafx.
Les éditions Noeve Grafx ont annoncé en début de semaine sur leurs réseaux sociaux et leur récent site internet (enfin !) la sortie d’un nouveau manga : Karma of Purgatory écrit par Shun Hirose et dessiné par Negi Haruba. Entre drame, horreur et mystère, le manga nous amène à suivre un lycéen qui s’est suicidé à force de harcèlement afin de causer le malheur sur ses camarades responsables, seulement une fois mort il se retrouve au purgatoire et apprend qu’il va devoir sauver du malheur ses bourreaux.
Le manga rejoindra la collection régulière (/principale) de l’éditeur. La sortie du premier tome est prévue le 12 avril prochain au prix de 8.95 euros.
Karma Purgatory, ou Rengoku no Karma (煉獄のカルマ) au Japon, a été prépublié entre les mois d’octobre 2014 et d’août 2015 dans les pages du Weekly Shonen Magazine (hebdomadaire Shonen) des éditions Kodansha. La série compte un total de 5 tomes dans sa version reliée. C’est le premier manga de l’auteur, Shun Hirose, qui parait chez nous. En revanche on connait déjà le dessinateur, Negi Haruba, pour deux séries : la comédie romantique extrêmement populaire The Quitessential Quintuplet (Pika) mais aussi No Longer Rangers (Pika Éditions) plus récemment et toujours en cours de publication.
Mot de l’éditeur :
« Negi Haruba (The Quintessential Quintuplets) vous dessine sa vision du Purgatoire !
Vos actes méritent-ils l’enfer ? Ou le paradis ? Ou peut-être… aucun des deux ? Une chose est sûre, chaque action a ses répercussions et chaque choix a ses conséquences… sur vous comme sur ceux qui vous entourent. »
Source : Noeve Grafx
Harcelé et violenté, le lycéen Makoto Nanase est à bout. Lorsqu’il découvre en plus que la fille qu’il admire en secret prend plaisir à le voir souffrir, il ne tient plus. Rempli de haine et de désespoir, il se suicide… et finit au Purgatoire, où il apprend qu’il a désormais une mission : sauver les six personnes les plus affectées par sa mort… qui ne sont autres que ses bourreaux.
